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Bouleversement temporel

Si les dieux existent, ils ont sacré humour.

Nous avons subit un coup de pupute, je ne parle pas uniquement de cette étrange Lili Puth, cette demoiselle qui "cherchait une parente indienne" dont le portrait qu'elle avait dessinée était exactement celui qui envahissait nos nuits à travers des scènes de massacres d'indiens. Naste Estan, cette déesse mère avec un tatouage d'araignée sur le visage, nous appelé à l'aide car ses enfants se font déchiqueter par des balles, "dans le futur". Mais à peine la rencontre avec Lili Puth et l'étranger qui ne veut pas donner son nom, est consommée, que nous nous réveillons le samedi 1er novembre 1862 à 9h53 pour tenter de sauver ses descendants.


Nous sommes arrivés sur place comme "agent Pinkerton", dans un fort nordiste en état de siège. C'est étrange d'être un agent officiel du gouvernement. En interrogeant les gens sur le vol des 30 000 têtes de bétail par les indiens, on soulève la merde et le principal instigateur de cette honteuse rumeur visant à dégrader les relations entre les nordistes et les indiens Duwamish, s'enfuient, vers les sudistes... qui étaient au nord (si les choses étaient simples, ça se saurait !).


Nous suivons la piste jusqu'au lac à coté de Spider Rock où nous constatons que l'enfoiré qu'on suivait avait utilisé une magie (correspondance ?) pour passer de l'autre coté de la rivière, traversant le lac et la rivière en quelques pas, le fumier !


En suivant un immense indien mi-homme mi-dieu (ou garou pour être plus précis, mais chut, ça tue la magie légendaire), il nous mène à son chef et les derniers "dieux". Lorsque je passe de l'autre coté du voile dans la pelisse que le plus gros m'a mise dessus, je me retrouve face à la déesse mère des Dwamish, une ancienne garou qui s’inquiète sur le fait que ses descendants sont en train de mourir et qu'il ne subsiste que de bêtes humains qui croient en elle mais dont elle n'a pas grand chose à faire.


Elle me confie la protection des lieux en même temps qu'elle me transmet son tatouage au visage (en forme d’araignée stylisée) et me renvoie dans un conflit où "son roi" se fait tuer. Elle appelle à elle les autres qui fusionnent tous pour protéger les lieux et devenir, plus tard, Moïra. Pas le temps de profiter de notre victoire, nous sommes renvoyés dans notre présent, mais j'ai en cadeau une putain de malaria du tonnerre de dieu !


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